Comment participer au projet « Ma Pomme ! »
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(…pour le reste, faut voir…)

Ce monde C'est le mien.
Le vôtre aussi, je suppose…

Introduction.

 L e « projet Ma Pomme » est à la fois très humble et très ambitieux : créer des conditions favorables à l'émergence d'une forme de démocratie adaptée aux conditions actuelles de vie.

Humble car sur le fond il s'agit de reprendre en les actualiant à peine des méthodes éprouvées depuis plusieurs millénaires, sur la forme de faire avec l'existant, qui à l'évidence n'est plus celui d'il y a plusieurs millénaires, ni plusieurs siècles, ni même plusieurs décennies.

Ambitieux car refonder la démocratie n'a rien de facile, “changer la société” semble une entreprise impossible, alors qu'elle est très simple. Une société comme la France est une réalité très complexe et très étendue, d'où la fausse pezrception qu'on doit avoir un projet très complexe et très étendu. Or, changer la société se fait toujours de la même manière : en se changeant. Que chacun se change, change sa perception de soi et envisage alors de changer de vie, de rapport au monde et aux autres. Ce qui est difficile. Simple mais difficile.


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O.M.H (textes divers, documents, données... Un peu daté désormais.)
OMH Prez ! (textes divers. Actuel si un peu daté.)

La principale difficulté vient de ce que beaucoup de personnes physiques (d'individus) et morales (de groupes) ne souhaitent aucunement l'advenue de la démocratie. Dans une société la règle est l'anonymat, dans un groupe ça peut être être la règle ou non. Au plan fonctionnel un groupe qui a pour règle l'anonymat est semblable à une société ; au plan statutaire, qu'il se prétende tel ou non, un groupe qui inscrit son action au sein d'une société ne peut revendiquer le statut de société car les règles de la société où il agit prévalent sur toutes celles qui lui sont propres.

On peut nommer un groupe qui n'accepte pas l'anonymat une adelphie, un groupe qui l'accepte une hiérarchie. Le premier terme est rare pour l'instant (31 août 2024) mais devrait, si le « projet Ma Pomme » et les autres projets en cours de même nature réussissent, devenir courant. Une adelphie est un groupe de pairs, un ensemble d'individus entre lesquels n'existe aucune position statutaire fixe, où la fonction seule détermine un statut transitoire ; une hiérarchie est un ensemble d'individus où le statut, permanent, détermine la fonction.

Pour exemple de types de groupes dans lesquels, nominalement, les membres sont des adelphes, les coopératives et les associations ressortant en France de la « loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association » : factuellement il peut exister une hiérarchie dans ces groupes, nominalement ce n'est pas le cas, ce qui fait qu'aux yeux de la société englobante, la France, chacun de ses membres est responsable en son nom propre (en tant que personne physique) de ses actes au sein d'un tel groupe. Pour exemple d'un groupe hiérarchique, en France toujours les “sociétés anonymes” : un membre y est nominalement responsable en bien comme en mal de tous les actes réalisés au sein du groupe par des individus qui lui sont hiérarchiquement inférieurs.

Conditions de participation.

Étant au 31 août 2024 le seul rédacteur de ce projet, j'énonce ici les rares conditions de participation initiales. S'il se réalise, d'autres règles pourront s'y ajouter, certaines impératives, d'autres non. Tout est susceptible de varier par la suite sauf la distinction entre adeplhies et hiérarchies. Le « projet Ma Pomme » est une adelphie, ce qui induit qu'on ne peut y être anonyme, et cela non plus ne variera pas. Une société démocratique peut et de fait (comme de droit) doit accepter la règle de l'anonymat, un groupe qui vise à fonder ou refonder une démocratie doit interdire l'anonymat entre ses membres : il est impossible de fonder une démocratie avec une hiérarchie.

  1. En interne, aucun anonymat.
    Cette première condition implique l'identification certaine des participants. Les modalités de cette identification évolueront mais en un premier temps tout nouveau membre doit s'identifier auprès de Ma Pomme, en ce cas la Pomme du Panier initiatrice de ce projet, nominalement Olivier Hammam, en indiquant un moyen de vérification sûr, ce qui dans le contexte présent est : des nom et prénoms d'état-civil, une adresse physique où on peut le constater, ou un numéro de téléphone associé à cet état-civil, enfin un moyen certain de vérifier ces informations. Ce moyen certain est une forme acceptable de triangulation sociale.
    En un second temps les autres participants pourront bien sûr procéder à l'identification et l'admission de nouveaux participants, mais toujours selon un procédé de triangulation socialement acceptable.
  2. Un participant est un membre identifié du groupe.
    Chaque participant peut lui-même être à l'initiative d'un autre projet de même type ou l'intégrer mais en tant que membre du « projet Ma Pomme » il ne représente que lui-même : tous ses actes et discours au sein de ce projet précis sont réputés être “en nom propre”, c'est-à-dire qu'il sera considéré comme leur seul auteur.
  3. Responsablilité des participants.
    Les deux premières conditions se rapportent à la question de la responsabilité : en démocratie, il y a une double responsabilité, celle collective de tous les adelphes, celle individuelle de chaque membre. Pour que celle collective ne puisse pas être mise en doute, celle individuelle est indivisible, un membre ne peut pas, quand il agir par, pour et dans la société, prétendre être porteur de la responsabilité d'autres individus, même si c'est le cas, ni prétendre avoir délégué sa responsabilité à des tiers, même si c'est le cas.
    Le but du « projet Ma Pomme » étant de « créer des conditions favorables à l'émergence d'une forme de démocratie adaptée aux conditions actuelles de vie », dans son fonctionnement interne on ne peut, sans rompre avec ce but, prétendre être “irresponsable”.

J'en arrête là car ce « projet Ma Pomme » a pour visée de participer à d'élaboration en commun d'un projet plus vaste, fonder ou refonder la démocratie en France et dans la fédération dont elle participe directement, l'Union européenne. Il n'est pas le seul, loin de là, et l'une des tâches des participants de ce projet-ci sera de repérer, signaler et participer à ces autres projets, de n'être qu'un parmi d'autres allant vers le même but. Il n'y a pas qu'un seul chemin pour aller vers plus d'égalité, plus de liberté, et vers l'adelphie, mais une seule manière d'y aller, se mettre en chemin.

Limites du « projet Ma Pomme » dans le contexte actuel.

Selon Ma Pomme il s'agit avant tout d'un projet “technique” dans un monde techniciste. Comme la conséquence prévisible d'une refondation de la démocratie sera la remise en cause radicale de cette orientation techniciste, à l'évidence ce projet sera vite obsolète. L'idée de base est celle récurrente mise en œuvre par les tenants de la démocratie : la force du faible est la faiblesse du fort. Le fort appuie sa force sur une chose qui lui est extérieure, qu'on peut nommer la technique ; le faible ne peut ébranler le fort tant que le fort garde la maîtrise de la technique. Il y a un problème intrinsèque à la technique : un moyen est sa propre fin. Supposer avoir la maîtrise de la technique c'est supposer que sa propre fin transcende la fin de la technique. Il y a un problème propre à ce moyen qu'est la technique, on doit sans fin la nourrir pour la renforcer sans pour cela se renforcer soi-même.

Le faible a un avantage certain sur le fort, il sait que la maîtrise de la technique est illusoire. Dans le contexte actuel, le principal moyen technique à la disposition du fort, ce sont les moyens de communication. Le fort suppose en avoir la maîtrise parce que leur structure formelle est en toile : les points de contrôle de cette toile sont des “centres”, les autres points des “périphéries”. Or la structure réelle est en réseau, c'est-à-dire que chaque point est un centre lié à un nombre restreint de points qui sont des centres, chaque point n'ayant aucune nécessité d'en passer par les centres formels de la toile.

Le « projet Ma Pomme » est extrêmement limité : mettre en œuvre des méthodes d'autonomisation de chaque point, ou nœud, du réseau, et détruire la structure formelle en toile, ce qui sera une même opération puisque si chaque nœud est autonome aucun n'aura de motif de maintenir la structure formelle, très gourmande en ressources pour un rendement extrêmement faible. J'ai mon idée sur la manière d'y parvenir mais comme toute idée elle est discutable, et le but premier du « Projet Ma Pomme » est d'inventer les moyens favorables à cette discussion, qui nécessairement ne seront pas techniques mais s'appuieront sur la technique existante non pas en la renforçant mais en l'affaiblissant.

Bon ben, plus qu'à s'y mettre. En partant de ce nœud par exemle. J'avais prévu un autre nœud mais comme tous les nœuds sont des centres, peu importe duquel ça démarre, très vite après ce sera une périphérie dans le cadre très large du « projet Démocratie », qui les transcende tous et est immanent à chacun.


En promenade vers la démocratie…
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