Dans le premier (ou dernier, selon ce qu'on en considère) texte de cette partie de ce site intitulée « Ce millénaire sera celui de Cléopâtre », dans ce texte intitulé « La réalité », je parle de la réalité et de ses sept aspects. J'en parle peu parce que ça n'est pas un sujet d'un grand intérêt de mon point de vue. La réalité m'importe beaucoup en tant que ce qu'elle est, en tant que sujet de discussion elle m'intéresse moins. Par contre, il faut selon moi tenir compte de la réalité et de ses sept aspects pour pouvoir discuter avec un peu de vraisemblance de la vérité, et surtout du rapport des humains à celle-ci.
Le premier aspect de la réalité est la réalité même : qu'on le pense ou qu'on ne le pense pas, qu'on le nomme ou qu'on ne le nomme pas, qu'on le voie ou qu'on ne le voie pas, un arbre est. Il est en lui-même et pour lui-même. Ce que dit dans la première phrase de cet alinéa décrit cinq des sept aspects de la réalité déterminés dans l'introduction au texte « La réalité », que je rappelle ici :
Entre pensée et mot, “quelque chose”. Entre mot et vision, “quelque chose”. Derrière la pensée, “quelque chose” ou “rien”. Derrière la vision, “quelque chose” ou “rien”.
L'aspect qui ne figure pas dans ce passage est l'objet, la réalité réelle, dans cette page sur la réalité l'arbre, puisque tous les autres aspects sont en lien avec cet objet.
Comme indiqué en introduction de cette discussion, il y a beaucoup à dire sur le rapport de chacun à la vérité, la Terre comportant entre six et huit milliards de chacuns humains avec une bonne hypothèse pour environ sept milliards, ça ferait une discussion qui excèderait mes capacités en cette vie, et comme je n'en ai pas de rechange c'est hors de mes moyens. Dans une version simplifiée on pourrait réduire à une modélisation avec treize ou quatorze ou quinze ou environ vingt-cinq ou environ cinquante chacuns représentant tous les chacuns, et pour affiner, des cas concrets concernant trois à cinq chacuns pour chaque chacun modèle, ce qui ferait encore pas mal de discussions. Honnêtement, trop pour moi. Je le pourrais mais je ne le souhaite pas. Je vous laisse donc poursuivre par vous-même cette discussion si vous le souhaitez – remarquez, même si vous ne le souhaitez pas vous le ferez parce qu'on ne peut pas s'empêcher, quand on est humain, de poursuivre pour soi-même une discussion sur un sujet paradoxal, ce qu'est celui de cette discussion. En tout cas, je ne compte pas poursuivre ici, rapport au fait que pour moi j'ai déjà mené cette discussion, et une fois suffit.