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Qui est premier, la poule ou l'œuf ? Ça dépend du moment et du point de vue...

C'est un site Internet. Un parmi des centaines de millions. Très confidentiel pour l'heure, bien plus que tous les précédents sites que j'ai créés. Pour le dire mieux, il ne reçoit pratiquement pas de visites sinon celles de “robots” – et là il en reçoit trop. Quelle fut mon intention quand je l'ai créé? Aucune idée. Par contre j'ai idée de ce qu'il est maintenant.

Autant que se peut, je placerai ici des paroles de bon sens en lien avec certains de mes propos. Des “bonnes paroles” en cette acception, des paroles honnêtes et vraies.

Je ne suis pas quelqu'un de sérieux, ça fait je ne sais combien de fois que je propose une conclusion, tantôt provisoire, tantôt définitive, sur les complots. Conclure plusieurs fois c'est ne pas conclure. Considérez donc avec prudence cette nouvelle conclusion, elle a toutes chances de n'être pas plus conclusive que les précédentes...

Fut un temps, un auteur et chroniqueur proposait sur France Culture une chronique justement, dont le titre général était «La conclusion définitive». Désormais c'est plus sobrement intitulé «La Conclusion». Dommage, il ne faut pas hésiter dans la démesure, conclure est une tâche impossible, alors tant qu'à s'y coller, autant aller à la démesure dans le dérisoire.

Et bien, de science et de fiction, vous ne croyez pas ? Perso, je suis du genre incrédule, je dirai donc que la science-fiction parle de notre réalité, voilà tout.

Les enfants savent souvent nommer la réalité, je pense entre autres à ce refrain des cours d'écoles, “C'est çui qui dit qui est-eu! C'est çui qui dit qui est-eu!”. Et oui, c'est souvent celui qui le dit qui y est.

Par prudence, il vaut de ne pas confondre causalité et corrélation.

La question n'est pas de croire mais de savoir, et quand on sait, les croyances apparaissent pour ce qu'elles sont, des mensonges. Et avant tout, des mensonges envers soi.

Au cas où vous auriez été alléchée ou alléché par ce titre avec l'idée que j'allais vous y livrer le fin mot du Sens de la Vie ou des Causes Premières ou des Approches Fraîches, je dois le dire, ce ne sera pas le sujet, il s'agit juste de dire pourquoi il est utile, à défaut d'être intéressant ou passionnant, et à défaut d'être facile, de comprendre l'univers.

La question n'est pas ce qu'on peut faire ni ce qu'on veut faire mais ce qu'on doit faire, car la réponse est toujours la même: fais ce que doit.

Désolé, la version 1 est en cours de rédaction et non publiée, j'y tente une exploration de la réalité trop complexe pour le thème que je voulais en un premier temps aborder. J'y reviendrai peut-être plus tard, ici on considérera acquis ce que dit dans «Un seul corps, version 1».

Une société aussi large que, je ne sais pas, le département du Cher, ou la région Centre, ou la France, ou l'Union européenne, doit trouver le moyen de fonctionner comme une société de moindre niveau comme, je ne sais pas, un canton rural du Cher de 5.000 habitants, ou une commune rurale de 1.500 habitants, ou une famille du Cher de 150 membres. Comment?

Le temps le temps le temps... À l'inverse d'Augustin, quand j'y pense je ne sais pas ce que c'est, si on me demande je sais. Parlons ici de son épaisseur et de son grain.

Y réfléchissant un peu, si tout évolue ou se transforme rien ne change jamais. Le propos d'un des personnages du roman Le Guépard, il faut que tout change pour que rien ne change, est réversible, il faut que rien ne change pour que tout change.

Elle est tissée de complots et de conspirations, plus précisément d'une multitude de complots et d'une conspiration, laquelle apparaît multiple.

Un être humain réalisé est comme une photo, négatif et inversé, un être humain accompli est comme un tirage photo, positif et rétabli. Mais il y a des ratages.

C'est une question. On prétend que l'Histoire est racontée par les vainqueurs, j'ai écrit quelquefois qu'elle l'est aussi par les vaincus, la vérité vraie, la voici: il n'y a jamais ni vainqueurs ni vaincus et tout le monde la conte.

J'avais pensé intituler cette discussion «Ésotérisme, exotérisme», mais ça m'a paru bien trop pompeux, cela dit il s'agit bien du sujet que je compte aborder, celui du sens caché et du sens manifeste, ce que désignent ces termes.

J'en parle dans le texte intitulé «La foi contre les églises» (enfin non, je n'en parle pas encore vu qu'il est en cours de rédaction mais ça ne saurait tarder), les “doléances” sont le mode normal de régulation des rapports sociaux. Mais quand on participe d'une société vaste, comment faire part de ses doléances?

La foi est personnelle, les églises sont collectives. Parfois, l'une s'adosse aux autres, parfois elle s'y oppose. Tout dépend du type d'harmonie qui s'instaure entre les personnes.

On entend tous les jours des conneries sans nom, parmi lesquelles la notion d'“écologie punitive”, une action à proscrire, parce que ce n'est pas ainsi qu'on convaincra les pollueurs de ne pas polluer. Une connerie sans nom.

Remarquez, ça peut valoir pour d'autres sociétés mais rien de sûr en ce point. Les sociétés ne meurent jamais et pourtant elles meurent. Ne vivent pas toujours et pourtant elles vivent.

C'est le sens littéral du nom Emmanuel. C'est aussi le nom de l'antéchrist et du christ, du faux prophète comme du vrai prophète. C'est le nom de Jésus. Tous les Emmanuel seraient-ils des Jésus? C'est bien possible, même quand ils ne le croient pas eux-mêmes.

Un maxime universelle mais qui n'apparaît pas si clairement pour bien des gens.

Le retour, rapport au fait qu'existe une autre discussion intitulée «Jubilé», que je n'ai pas relue avant de rédiger celle-ci. Disons, c'est une version dense du même texte. J'ai un peu idée de ce qu'il propose, mais il est trop long.

Il n'y a pas une infinité de manières de se socialiser. Factuellement il n'y en a que trois de base qui composent treize possibilités, tenant cependant compte du fait qu'il n'y en a qu'une, mais diverses manières de la réaliser — ou ne pas la réaliser.

L'aphorisme de Ludwig Wittgenstein «Ce dont on ne peut parler, il faut le taire», me convient. Je ne parlerai donc pas de “Dieu” ou de “dieux” mais de ce qu'on en dit.

Mon pays est un curieux pays. Un pays de liberté, d'égalité et de... Et d'adelphie désormais. Un peu anarchiste, un peu autoritaire, beaucoup libéral et beaucoup dirigiste. Je l'aime. Mon pays est le centre du monde. Enfin, un des centres du monde. Il m'agace. Il m'agace et je l'aime pour ça. Rien de pire qu'un pays qu'on adore ou qu'on abhorre, on ne peut aimer dans l'excès.

La science de la maison, voilà ce que signifie l'écologie, et non pas la technologie pour la préservation de la nature, la nature n'a nul besoin de technologie pour se préserver, elle l'a fait plus de treize milliards d'années avant que les humains y apparaissent et continuera de le faire bien après leur disparition. Donc, occupons-nous de notre maison plutôt que de tenter en vain de réparer l'irréparable, puisque non endommagé...

Que ne puis-je ? Bien des choses, en tout premier aider mes semblables contre eux-mêmes.

Je me suppose très réaliste. Il se peut que je me trompe. En revanche, les mots que j'emploie manquent souvent de réalisme, ce qui tend à modifier mes propos et leur donner parfois une coloration idéaliste ou matérialiste. Ce que je regrette.

J'entends sur ma radio — France Culture, ce 28 novembre 2018, environ 10h25 — le philosophe Hicham-Stéphane Afeissa faire la différence entre la catastrophe nucléaire et la catastrophe climatique, disant en gros que celle climatique est la conjonction des activités et choix de tous, celle nucléaire, si elle advenait, serait due à la décision de quelques-uns. D'accord...

Un des autres noms de la corruption est l'anonymat. Ne jamais croire ce que dit une personne qui ne veut pas dire son nom ni le nom d'au moins deux autres personnes qui pourront confirmer ou infirmer ses propos, ce qu'on ne veut ni ne peut prouver est nécessairement faux.

J'aborde enfin le point crucial: quoi que fasse un membre de la société, ce qu'il fait est bon pour la société, y compris s'il agit contre la société. C'est ainsi.

L'humilité, selon moi, consiste en cette attitude vitale, se placer à sa propre hauteur. J'y ajoute que ma propre hauteur est celle de tout humain, car tout humain est mon semblable. Il y a deux manières de ne pas se placer à sa propre hauteur, se situer plus bas ou plus haut. Dans les deux cas, on ne se situe pas à hauteur d'humanité.

Qui connaît la réalité réelle? Tout le monde. Mais beaucoup l'ignorent.

Qu'est aujourd'hui? La séquence allant du jour passé où vint au monde le plus ancien humain en vie au jour futur de même durée. Le seul instant que nous connaissions réellement et celui où nous vivons mais nous contenons collectivement la mémoire d'aujourd'hui, la nostalgie du passé d'aujourd'hui et l'espoir ou la crainte du futur d'aujourd'hui.

Ou non sélection naturelle mais en tout cas ni sélection naturelle, ni non sélection non naturelle. Par contre, pas sûr qu'on puisse parler de sélection ni de nature.

Qui suis-je? Je me le demande parfois, et quand je le fais je ne trouve pas de réponse. Bien sûr j'ai un histoire, celle d'un individu né un certain jour en un certain lieu d'une certaine femme et d'un certain homme, et j'ai vécu une certaine vie. Et puis?

Fin de l'Histoire, Fin de l'Histoire, faut le dire vite... Et l'oublier juste après, rapport au fait qu'elle a encore de beaux jours devant elle. Non, il s'agit ici de la fin (provisoire, bien sûr) de mes histoires sur l'Histoire. Du moins je l'espère.

J'ai déjà écrit un texte de ce titre, du titre Faux-semblants. Aucune idée de ce que j'y raconte mais probablement j'y discute de choses en rapport à ce que je discuterai ici. Ou non, mais de tout manière oui, car tout à rapport à tout.

La seule manière de s'assurer le contrôle sur la société, on le connaît de longue date, aux XIX° et XX° siècles on parlait de l'alliance du sabre et du goupillon, on peut aussi parler de l'alliance du pasteur et du loup. Vous dites? Le loup ennemi du berger? D'accord. Et qui aide le berger à garder le troupeau? Le chien, Canis lupus familiaris, qui ne diffère de Canis lupus que par sa “familiarité”. Sa familiarité avec le berger...

L'acteur économique peut être rationnel mais à une seule condition : respecter la loi de la maison commune.

Sur l'île de Ré il y a des écluses. Un peu autres que les écluses fluviales mais qui ont une chose en commun avec elles, ce sont des communs.

...aura une tapette, bien sûr. Ce n'est pas le seul cas mais c'est le plus visible en France et au Japon, Renault et Nissan se tiennent par la barbichette, en cette fin novembre 2018. Pour diverses raisons, je pense que Nissan rira le premier. On verra.

Ouais... Croyances... Faut être con pour croire ou salaud pour faire croire. Je méprise les cons et je hais les salauds, c'est ma méthode pour me protéger de la croyance. En même temps, les cons je les aime bien en général même si je m'en méfie — ils sont imprévisibles —, et les salauds je les plains — non pour ce qu'ils font mais pour le sort qu'ils se préparent.

Beaucoup de choses en ce monde s'expliquent par la croyance, par les croyances. Entre autres, vivre en société est une affaire de croyance. Les causes premières des dysfonctionnements dans les sociétés humaines sont souvent en lien avec l'incroyance et l'incrédulité.

Je viens d'entendre sur ma radio préférée, en fait la seule que j'écoute, France Culture, que le “mouvement des gilets jaunes” échappe à la critique. Ce qui est faux bien sûr, il échappe à la critique dans la plupart des médias, ceux qui veulent conserver leur public, et comme leur “cœur de cible” met un gilet jaune sous son pare-brise...

La caractéristique principale d'un salaud est de ne jamais se salir les mains — cela dit symboliquement même si pour certains c'est aussi littéral. Or, les mains sales sont le signe de la saloperie, donc un salaud aux mains propres ne fait pas de saloperies. Ou alors il prend ses précautions, genre tenue pour salle blanche et deux paires de gants superposées.

Imaginons un monde où quelques-uns ont découvert le moyen de la Vie Éternelle et le gardent secret. De loin en loin certaines personnes découvrent ce secret, et menacent de le révéler au monde entier, on leur donne alors le choix, soit tu te tais et tu entres parmi nous, soit tu meurs. Et bien, nous vivons dans ce monde.

Comment se dédire de ses engagements? En changeant de mot, ou en changeant le sens des mots.

Il y a au moins trois manières d'explorer le passé, sans a priori, avec a priori et avec des préjugés. La plus réaliste est la première.

Vous connaissez probablement cet adage, on peut mentir à quelques-uns tout le temps, on peut mentir à tous quelques temps, on ne peut pas mentir à tous tout le temps. C'est vrai.

Il peut sembler curieux d'intituler un texte de la partie de ce site intitulée «Ce monde» avec presque le nom d'une autre partie, «Un autre monde». C'est que, ce monde et l'autre monde sont le même monde sous deux aspects...

À quoi sert une armée? À défendre la patrie contre les menaces intérieures et extérieures. Est-ce que l'Union européenne est divisée en plusieurs nations? Non. Y a-t-il dès lors besoin pour chaque État-membre d'avoir sa propre armée? Non.

L'Union européenne est dédiée à Marie, “mère de Dieu”. Pourquoi? Parce qu'il le fallait.

Fut un temps, on imposait une marque jaune aux parias, désormais ils se marquent eux-mêmes.

Ou trois ou quatre ou une multitude de peuples. En tout cas plus qu'un. Les problèmes ont commencé là. Du moins une nouvelle sorte de problèmes...